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Outreach

Fête de la Science 2023

Journées portes ouvertes du centre Inrae Occitanie- Toulouse, Mardi 10 Octobre 2023.

Organisateurs: Dominique Tremousaygue, Isabelle Mila, Françoise Jardinaud, Nicolas Pauly, Virginie Gascioli, Carine Gris, Céline Vicedo

Nous étions 22 collègues à animer 4 ateliers : “S'adapter, résister, c'est la course pour les plantes et les microbes !”, “Des athlètes microscopiques”, “Quand les plantes et les microbes interagissent, c'est sportif !” et l’ Escape Game « Recherche à risque », pour la fête de la Science, auprès de 3 classes de 6ème et 3 classes de lycée. Une réussite, Merci à tous!

> Interview France3 (min. 21)

Un dimanche au bord du lac

Fête de la Science, Dimanche 9 Octobre 2022, Lac de la Reynerie, Toulouse

Intervenants : Dominique Tremousaygue, Laurent Noël, Mireille Chabaud, Héloise Demont, Isabelle Mila

La nature en ville, l’écologie, le climat, on en parle ? Comment favoriser le passage à l’action, faire face aux rumeurs, fausses nouvelles ou idées reçues ? Cette journée conviviale a été l’occasion d'en savoir plus sur ces sujets d’actualité, avec une programmation culturelle éclectique : expositions ou installations artistiques, rencontres avec des scientifiques, ateliers, espaces de fabrication, jeux et animations et spectacles de rue.

Le laboratoire a participé avec des ateliers pour illustrer le thème des interactions plantes-microorganismes et des rencontres de type speed-searching. Mireille et Dominique ont également été interviewées en direct par Campus FM

Interview >  http:/www.mixcloud.com/CampusFM/udabdl2022/

https://intranet.toulouse.inrae.fr/occitanie-toulouse/Actualites/FDS-2022

Quand les citoyens se mobilisent pour étudier l’adaptation des plantes à leur environnement !

Rencontre Exploreur", Quai des Savoirs - 39 Allée Jules Guesde, Toulouse, France

22 Juin 2021 à 18h

Intervenant : Fabrice Roux

Cet événement est proposé par le service valorisation de l'Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées en partenariat avec le Quai des Savoirs.

Les sciences participatives, appelées aussi sciences citoyennes ou bien encore science collaboratives, visent à mettre en place une recherche plus démocratique en demandant aux citoyens de participer de manière active et sans contrainte à la production de connaissances scientifiques. En mettant à disposition des lieux de recherche, en acquérant des données, en soulevant de nouvelles questions, les citoyens participant à des projets de science participative renforcent les interactions entre la science et la société.  C’est dans ce cadre que le projet OPTIMA a été présenté au Quai des Savoirs. Ce projet s’est appuyé sur la participation de citoyens de 11 départements de la région Sud-Ouest pour tester et comprendre l’adaptation des plantes à leur environnement, et notamment au microbiote du sol. Le microbiote correspond à l’ensemble des microbes comme les bactéries et les champignons que l’on retrouve dans le sol d’un jardin, d’un champ cultivé, d’une prairie…Ce projet a pu mettre en évidence que le microbiote du sol était significativement plus diversifié dans les populations naturelles de l’arabette des dames, espèce modèle de laboratoire mais avant tout une espèce tellement commune dans nos campagnes, que dans les jardins mis à disposition par les citoyens

Rencontre eXploreur – cycle sciences participatives | INRAE INSTIT

https://www.inrae.fr/actualites/optima-projet-participatif-ladaptation-plantes-leur-environnement

Salon de L' Agriculture 2019

Plusieurs équipes du LIPM ont participé au Salon de l’agriculture 2019.

Des chercheurs travaillant sur les agents pathogènes interagissent avec le public via l’application E-phytia, qui permet d’identifier les maladies et ravageurs de diverses plantes cultivées, l’occasion de présenter les mécanismes qui permettent l’immunité de certaines plantes face aux bioagresseurs.

D’autres chercheurs proposent des jeux pour tester les connaissances du public sur les légumineuses, des plantes dont la nutrition azotée est facilitée par l’interaction avec des microorganismes symbiotiques, et dont on redécouvre aujourd'hui les multiples intérêts sur le plan agronomique, environnemental et nutritionnel.

Enfin, des chercheurs présentent le projet Optima, une expérience de science participative menée dans 11 départements français qui vise à définir une carte génétique de l’adaptation de l’arabette à son environnement (sol, microbiote, climat). Des petits pots de cette plante sont distribués au public.

Lien : OPTIMA : un projet participatif sur l’adaptation des plantes à leur environnement | INRAE INSTIT

Pint of Science : Immunitaire mon cher Watson !

Homme et Plante, même combat contre les maladies ?

21 Mai 2019

​Rooster and Beer, 100 rue Riquet, Toulouse 31000


Intervenants : Etienne Meunier (Chercheur CNRS à l'Institut de pharmacologie et de biologie structurale (IPBS - CNRS - Université Toulouse III - Paul Sabatier))
Maud Bernoux (Chercheure CNRS au Laboratoire des interactions plantes-microorganismes (LIPME - INRA - CNRS)

L’évolution a permis de sélectionner les organismes vivants adaptés à leur environnement. Seuls ceux capables de se protéger efficacement peuvent survivre. C’est bien sûr le cas des animaux (dont l’homme !), mais aussi des plantes, qui, même si elles sont incapables de fuir face à l’ennemi, savent se défendre. Nous poserons un regard croisé sur ces deux règnes, qui malgré leurs différences, ont développé des mécanismes immunitaires pas si éloignés…

https://pintofscience.fr/event/immunitaire-mon-cher-watson--

  Mais Qui parle donc ?

Installation art-science qui donne à imaginer la manière dont le végétal perçoit son environnement. Elle présente, à la fois, les recherches scientifiques en cours sur les capacités d’écoute du végétal et la manière dont l’art peut actualiser le regard que nous portons aux plantes.

Concept de l’installation

De nouvelles études dévoilent que l’étendue du spectre perceptif des plantes est vaste. Elles sont capables de percevoir d’autres entités vivantes, comme les bactéries ou les champignons, leur environnement physique (gravité, lumières, sons), ainsi que leur propre posture, leur état de santé. Ces découvertes récentes nous amènent à repenser l’univers du végétal et nous confrontent à notre anthropocentrisme.

Cette installation s’ancre dans une volonté de retranscrire la richesse et la finesse des mécanismes perceptifs permettant à la plante de vivre en s’adaptant à son environnement. Pour cette raison, deux chercheurs, Frédérick Garcia et Adelin Barbacci, ont travaillé avec des artistes, afin de donner à voir un nouveau regard sur le végétal.

La particularité de cette exposition provient du fait qu’une multiplicité de compétences s’est réunie. Des spécialistes de la biomécanique, des systèmes d’apprentissage, un preneur de son audio naturaliste, des programmeurs, des spécialistes des arts, de la lumière et des sons ont tous œuvré à construire cette installation art/science.

 

L'équipe

Chercheurs :
Frédérick Garcia (MIA), Adelin Barbacci (LIPM), Inra Toulouse, Yves Duthen (REVA-IRIT Capitole 1 Toulouse),
Myriam Desainte-Catherine (LaBRI, Scrime) Bordeaux INP.
Conception et création :
Edwige Armand, arts plastiques, conception et écritures.
Thierry Besche, conception, écriture du son.
Julien Rabin, conception, sons électroniques.
Fernand Deroussen, prise de son audionaturaliste.

Réalisation :
Mathieu Chamagne, développement informatique multimédia.
Thomas Breton, développement informatique.
Cédric Cambon, réalisation lumière et dispositif de commande.
Thibaud Keller, SCRIME, gestion des scénarios (OSSIA-Score).
Gaël Jaton, SCRIME, capteurs et développement électronique.
Pol Perez, électro-plasticien, dispositif n°1 et n°2 de la partie labo, robot.
Basile Robert, grande cage de Faraday et bac.
Théo de la Hogue, artisan numérique, robot.

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